Exposition « Gaston-Louis Roux, Peindre la garrigue »
Gaston-Louis Roux, "Chêne et garrigue", 1977 |
Prolongé jusqu'au 24 novembre 2024
Peindre la garrigue dans un petit village du Gard, alors qu’on a participé à l’aventure du Surréalisme à Paris ? Le parcours de Gaston-Louis Roux a dérouté ses contemporains.
Né à Provins en 1904, Gaston-Louis Roux a côtoyé le mouvement
surréaliste et exposé dans la prestigieuse galerie de Daniel-Henry Kahnweiler,
promoteur du Cubisme.
Pourtant il a choisi d’explorer une autre voie après la Seconde
Guerre, revenant à la figuration avec des portraits, des natures mortes et des
paysages. Si quelques artistes de premier plan comme Giacometti ou Hélion l’ont
encouragé, son choix l’a mis en retrait de la célébrité.
Les paysages du Gard, autour de la maison de Seynes où il
passait chaque été à partir des années 1970, ont été pour lui une source
continuelle d’inspiration ; c’est pourquoi cette exposition leur est
consacrée, avec quinze tableaux et quatre dessins prêtés par les descendants du
peintre.
Dans un équilibre subtil entre dessin incisif et vibrations
colorées, Gaston-Louis Roux transmet à la fois la forme du paysage et sa propre
émotion devant la beauté de la nature.
Décédé en 1988, Gaston-Louis Roux a choisi d’être inhumé à
Seynes.
Publication
Catalogue « Gaston-Louis Roux, Peindre la
garrigue », 32 p., prix de vente 6 €.
Animations
Le mercredi de 14h à 17h, visites guidées de l’exposition
suivies d’un atelier de dessin sur le motif, pour croquer la garrigue !
- Mercredi 25 septembre
- Mercredi 9 octobre
- Mercredi 23 octobre
- Mercredi 30 octobre
Rendez-vous à 14h au musée. Apporter papier et crayons ou aquarelles. Ouvert à tous à partir de 7 ans, nombre de participants limité à 15 personnes. Gratuit, sur réservation (tel. 04 66 22 40 23, musee.uzes@wanadoo.fr).
Exposition « Michel Danton, Suite Racinienne »
Du 6 juillet au 5 novembre 2023
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(c) Michel Danton |
En 1661, un jeune homme nommé Jean Racine, qui hésitait encore entre le théâtre et la carrière ecclésiastique, arrivait de Paris à Uzès, pour rendre visite à un oncle qu’il n’avait encore jamais rencontré. De ce séjour en terre lointaine nous restent 24 lettres envoyées à ses cousins et amis, dont les originaux sont conservés à la Bibliothèque Nationale.
C’est à cet auteur que Michel Danton rend hommage de façon inattendue. Peintre épris d’univers graphiques singuliers, il utilise comme supports des reproductions des Lettres d’Uzès de Racine. Sans renoncer complètement à la lecture, grâce à des transparences l'artiste métamorphose en images la prose de Racine, lui apporte une nouvelle matérialité à l'aide de couleurs, de coutures et de dessins.
Né en 1952, Michel Danton vit et travaille en Gironde. Il
joue, déjoue, travaille sur, avec, dans l’écriture. Glaneur de « papiers
d’occasion », il les réutilise et les assemble par des coutures, parfois
en superposant des fragments d’étoffe. Il réalise aussi des livres d’artiste.
Michel Danton a exposé dans de nombreuses galeries et musées
en France.
Exposition « Hommage à Catherine Gide »
Du 19 avril au 18 juin 2023
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(c) Fondation Catherine Gide |
Disparue il y a 10 ans, la fille de l’écrivain André Gide aurait eu 100 ans cette année.
Le musée d'Uzès lui rend hommage avec une présentation dans la salle Gide de portraits photographiques de Catherine Gide, tout au long de sa vie, sélectionnés par Jean-Pierre Prévost, en partenariat avec la Fondation Catherine Gide.
Exposition « De cabanes en capitelles »
Du 12 octobre au 31 décembre 2022
Fruit du labeur des paysans qui défrichèrent les garrigues de l’Uzège aux 18e et 19e siècle, les capitelles ou cabanes en pierre sèche ont failli disparaître au cours du 20e siècle, démolies ou laissées à l’abandon. On les redécouvre désormais : en 2018, l’UNESCO a inscrit l’art de la construction en pierre sèche sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. En Uzège, ce petit patrimoine est protégé et valorisé par des associations comme La Librotte à Blauzac ou La Zébrine à Arpaillargues.
Dès les années 1980, un Uzétien avait reconnu leur intérêt : pendant une quinzaine d’années, Marcel Duret a mené un véritable travail de recensement, en photographiant plus de 200 capitelles dans 18 communes de l’Uzège. C’est à partir de ses photographies et de sa documentation (données au musée par sa famille après son décès en 2014) qu’a été réalisée cette exposition, qui situe les capitelles dans leur contexte historique, géographique, et révèle la variété de ces constructions bâties par des anonymes.
Publication
Catalogue « De cabanes en capitelles, la pierre sèche en Uzège », 76 p., prix de vente 10 €.
Emission radio
Emission "Fréquence Musées" spéciale capitelles, sur Radio Fuze avec les interviews des associations La Librotte et La Zébrine.
Ecouter le podcast
Animations
Visites guidées de l’exposition suivies d’une balade, pour découvrir les capitelles « en vrai » !Jeudi 27 octobre : les capitelles d’Arpaillargues, avec l’association La Zébrine
Mercredi 2 novembre : les capitelles de Blauzac, avec l’association La Librotte
Samedi 19 novembre : les capitelles d’Arpaillargues, avec l’association La Zébrine
Mercredi 14 décembre : les capitelles d’Uzès, avec le Service Patrimoine d’Uzès
Départ à 14h au musée puis à 15h au point de rendez-vous indiqué pour chaque balade. Gratuit, sur réservation (tel. 04 66 22 40 23, musee.uzes@wanadoo.fr).
Exposition "Jean Marc Saulnier, Morceaux de choix"
Du 8 septembre au 30 décembre 2020
Jean Marc Saulnier prélève, détourne, assemble, fragmente, recompose et crée peintures, livres d’artiste et objets en volume, qu’il appelle des « Gamelles ».
Exposition en deux volets, au musée et à la médiathèque d'Uzès
Au musée (8 septembre-30 décembre 2020 et 19 mai-4 juillet 2021) :
Une peinture (acrylique, encre, collage sur papier peint - 2 faces), sur une surface de 15 m² environ
Quatorze objets nommés « Gamelles » (collages - diamètre 25 cm environ)
Dont la pièce nommée « Glun (07) – 06 novembre 2019 – Voyageuse itinérante »
et « Textes rassemblés » écrits autour de cet objet par des artistes, peintres, écrivains, musiciens, philosophes, céramistes, poètes, photographes, galeristes, plasticiens et amis de l’artiste.
A la médiathèque (8 septembre-17 octobre 2020) :
Une
peinture (acrylique, encre, collage sur
carton - 2 faces, format fragmenté en une
quarantaine de pièces
Une
demi-douzaine d’objets nommés « Gamelles » (collages
- diamètre 25 cm environ)
Livres
d’artiste : une douzaine d’unités (Editions Rivières, Editions du Livre Pauvre)
Exposition « Déserts. Victoria Arney, Danièle Meunier-Letan et Marie-Do Pain »
Textes : Gwenaël Beuchet
48 p., prix de vente 6 €
En vente sur place au musée et par correspondance
Découvrez les jeux Saussine présentés par Alain Rabussier dans l'émission " Fréquence Musées " sur radio Fuze !
Potiers et tuiliers entre Rhône et Gardon, de l’Antiquité au 20e siècle
Exposition prolongée jusqu'au 31 décembre 2017
Textes : Freddy Thuillier
28 p., prix de vente 6 €
En vente sur place au musée et par correspondance
Découvrez l'exposition présentée par Freddy Thuillier dans l'émission " Fréquence Musées " sur radio Fuze !
Exposition David Maes, "Offrandes inégalables"
du 30 septembre au 31 décembre 2016
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I Am a Wonder : Among Flowers (Pour Madeleine), pointe sèche, 2016 |
Publications
Textes de Brigitte Chimier, Jean-Christophe Galant et Daniel Moutote.
Publié avec le soutien de la Fondation Catherine Gide.
30 p. couleur, prix de vente 6 €.
Tirage limité à 26 exemplaires numérotés, prix de vente 90 €.
En vente par souscription aux éditions IFYP, editionsifyp@gmail.com
Les jeudis 2 et 9 juillet, 20 et 27 août, 3 septembre, de 16h30 à 18h30. Sur réservation, tarif 5€ / personne.
Nombre de places limité à 10 personnes par visite. Réservation uniquement par téléphone au 04 66 22 40 23 aux heures d’ouverture du musée (pas d’inscription par répondeur), jusqu’à la veille de la visite.
Florence Barbéris et Mireille Laborie revisitent le musée d’Uzès
Melchior Doze, dessinateur
Projets pour les églises du Gard
Etude de tête et de mains, sanguine sur papier Collection musée Georges Borias, Uzès |
Exposition du 3 octobre au 31 décembre 2013
Poteries, fouilles Archéa, La Capelle |
se nourrir au Néolithique. Dans le cadre des Journées du Patrimoine.
André Gide, un album de famille
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André Gide et sa fille en 1940 |
Exposition du 28 septembre au 31 décembre 2010

L’exposition retrace cet historique et présente les collections fondatrices du musée, tel que les Uzétiens pouvaient le découvrir il y a cent ans.
Ulysse Dumas (1872-1909), archéologue et photographe
Exposition du 5 octobre au 31 décembre 2009
A partir du 16 septembre 2008
dinaires. Le savoir-faire Pichon, transmis de génération en génération, a donné naissance à des créations raffinées : coupes tressées, décors en relief et surtout les fameuses «terres mêlées», un mélange unique de terres colorées dans la masse donnant l’effet d’un marbre aux veines multicolores.
Publication
Le début de l’exposition coïncide avec la parution du livre « À Uzès, une famille de potiers, les Pichon », Lucie Editions, collection Céramique, 84 pages couleur.
Renseignements :
Lucie Éditions, 34 bis rue Clérisseau, 30 000 Nîmes, tél./fax : 04 66 29 10 04, courriel : contact@champsocial.com
Selon la définition du Conseil international des musées (ICOM), le musée est un lieu « d’éducation et de délectation ». L’une ne va pas sans l’autre : la visite d’un musée, si instructive qu’elle soit, ne laisse un souvenir durable que si elle touche à l’émotion.
En rassemblant des objets très divers, naturels ou artificiels, les musées condensent aussi toute une somme d’anecdotes, de légendes et de souvenirs. Derrière les classifications rationnelles, l’imaginaire est partout présent, prêt à envahir les visiteurs réceptifs.
Agnès Gomez a su percevoir cette part de rêve dans les salles du musée d’Uzès. Exemple parmi d’autres d’un musée « encyclopédique » du siècle dernier, il réunit des collections très variées, allant des fossiles à la poterie de l’Uzège et de l’archéologie à la peinture.
Les chimères créées par Agnès Gomez se fondent tout naturellement dans cet ensemble, dont elles renforcent le caractère à la fois incongru et poétique. Sirènes et autres créatures mi-insectes mi-végétales, survivants d’on ne sait quel cataclysme, se glissent dans les vitrines parmi les fossiles et les pipes en terre de Saint-Quentin. Le musée retourne ainsi vers sa forme primitive, celle des « cabinets de curiosités » créés pour la délectation des amateurs, à une époque où science et imaginaire n’étaient pas encore séparés.
Disséminées au sein du musée comme un jeu de piste, les œuvres d’Agnès Gomez invitent les visiteurs à partager cette délectation au fil des salles, tout en redécouvrant les collections permanentes.
Ainsi que l’écrit l’artiste, « En bouleversant ainsi leur environnement familier, je souhaite que mon intervention permette de mieux voir les œuvres, qu’elle en révèle la beauté singulière, pour retrouver en quelque sorte l’émotion des premiers visiteurs du musée. Réactiver le regard artistique, en somme. »
Le musée Georges Borias rend hommage à la patience et au talent de «petites mains» anonymes : couturières, brodeuses, dentellières… L’éducation des jeunes filles d’autrefois les préparait dès le plus jeune âge à la pratique de ces «ouvrages de dames», seul domaine où il leur était permis d’exprimer leur créativité.
L’exposition permet de redécouvrir les collections textiles du musée, rarement exposées en raison de la fragilité des tissus : robes de baptême, vêtements et lingerie féminine d’autrefois, pièces de dentelle, etc.. Elle présente aussi des outils tels que nécessaires à coudre, machine à coudre et fers à repasser anciens.
«De l’art exotique aux arts premiers. Objets africains et océaniens du musée d’Uzès »
Exposition du 12 septembre au 31 décembre 2006

Parmi les collections variées du musée Georges Borias - de la peinture « Belle Epoque » à l’archéologie, et de la poterie de l’Uzège aux souvenirs d’André Gide - se glissent quelques objets de provenance lointaine, qui ne manquent pas d’intriguer les visiteurs.
L’exposition « De l’art exotique aux arts premiers » se propose de retracer l’historique de ces objets, lié au passé colonial de la France.
Créé en 1910, le musée d’Uzès accueille dès l’origine des objets africains. En 1947, le conservateur Georges Borias organise une grande exposition d’art « exotique » ; par la suite il obtient de nouveaux dons d’objets provenant d’Afrique et d’Océanie. L’objectif de cette politique d’acquisition volontariste est de montrer l’apport culturel dû à la présence à Uzès de nombreux anciens cadres de l’administration coloniale.
Après la décolonisation, quel regard porter désormais sur cet ensemble disparate ? Il n’y a d’unité ni dans les provenances, ni dans les types d’objets, ni dans leur qualité (des objets traditionnels, parfois anciens, côtoient des productions récentes d’artisanat pour touristes).
L’exposition sélectionne les objets les plus authentiques et les plus significatifs, provenant d’Afrique de l’Ouest (Côte-d’Ivoire, Mali, Guinée) et Centrale (Congo), ainsi que de Papouasie-Nouvelle-Guinée. Elle évoque aussi d’illustres voyageurs aux origines uzétiennes : le duc Jacques de Crussol et l’écrivain André Gide, explorant le Congo à trente ans d’intervalle…
Loin d’avoir la prétention de rendre compte de l’art africain et océanien tout entier, cette exposition nous parle de notre rapport à l’Autre, et de notre passé colonisateur. Sans réécrire l’Histoire, mais en rappelant qu’à côté de la domination politique et culturelle, il y eut aussi la rencontre d’autres formes d’art, d’autres sensibilités. Le renversement actuel des appellations, de l’art dit « primitif » aux « arts premiers », en dit long sur cette fascination grandissante de notre culture pour les autres, comme en témoigne également l’ouverture récente du musée du quai Branly…
Catalogue :
De l’art exotique aux arts premiers. Objets africains et océaniens du musée d’Uzès. 2006. Textes de Fabien Laty. 32 p., 25 ill. couleur. Prix : 6 €.
Exposition du 4 octobre au 31 décembre 2005
En partenariat avec la 4e Biennale du Bijou contemporain
Du 4 au 30 octobre 2005, divers lieux à Nîmes et Uzès
Le musée d’Uzès est heureux de s’associer pour la première fois à la Biennale du Bijou contemporain de Nîmes, en présentant une exposition sur le thème des « bijoux de poilus ».
Ces objets (bagues, médaillons, briquets…) faits de métaux de récupération furent fabriqués par les soldats dans les tranchées pendant la première Guerre mondiale.
Le musée d’Uzès possède un certain nombre de ces bijoux, ainsi que des outils ayant servi à leur fabrication. Ce fonds sera complété par des prêts provenant de musées et de collections privées, exposés du 4 octobre au 31 décembre 2005.
Pendant la durée de la Biennale du Bijou contemporain (du 4 au 30 octobre), ces pièces historiques seront confrontées aux créations de bijoutiers contemporains, Thierry Vendôme et Pierre Cavalan, travaillant sur des thèmes proches : métaux de récupération, univers des médailles et des insignes militaires…
L’exposition permettra ainsi un dialogue entre le patrimoine et la création, entre l’éternité du musée et l’événement de la Biennale. Elle soulignera aussi les différentes significations du bijou, de la plus officielle à la plus intime : document historique, témoignage de bravoure ou de patriotisme, expression de créativité et d’habileté manuelle, gage d’affection envers l’être aimé…
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Noël Coypel : l'Ancien et le Nouveau Testament |
Habituellement conservées dans les sacristies de la cathédrale (non visitables), ces peintures sont exceptionnellement montrées au public pendant quatre mois. Il s’agit de tableaux à sujets religieux, essentiellement des XVIIe-XVIIIe siècles, bien représentatifs de l’art de la Contre-Réforme, ainsi que de portraits d'évêques d'Uzès.
Guide des tableaux des églises d’Uzès.
40 p., 18 ill. couleur. Prix : 6 €.
Exposition du 12 septembre au 31 décembre 2004
Dans le cadre des Journées du Patrimoine 2004, le musée Georges Borias présente une exposition-dossier sur l’histoire de la médecine.
Des objets et documents provenant des collections du musée et des archives municipales retracent l’évolution de la médecine à partir du XVIIe siècle. L’exposition permet de comprendre l’organisation des professions médicales et, en particulier, des pharmaciens, dont le plus célèbre fut l’Uzétien Moïse Charas, avec ses remèdes aux recettes surprenantes…
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Façade de l'hôpital par Rouvière, 1785 |
« Le souvenir et le désir du Sud m’obsédaient » (L’Immoraliste).
Lorsque André Gide s’embarqua pour la Tunisie et l’Algérie en 1893, pressentait-il que ce voyage allait le révéler à lui-même ?
La terre africaine fut pour lui une nouvelle Arcadie et le lieu d’une véritable renaissance. Cet éblouissement, renouvelé par de fréquents voyages jusqu’en 1903, est sensible tout au long de son œuvre : Les Nourritures terrestres (1896), El Hadj (1899), L’Immoraliste (1902), Amyntas (1906), Si le Grain ne meurt (1921)…
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Rudolf Lehnert : jeunes Ouled Naïl |
Réalisées au début du XXe siècle en Tunisie, les photographies de Rudolf Lehnert étaient éditées sous forme de cartes postales coloriées et commercialisées avec son associé Landrock. Ces images d’une exceptionnelle qualité artistique sont l’évocation parfaite de la « terre de volupté » célébrée par Gide.
On y retrouve l’animation des souks, le regard amusé sur le petit peuple de Tunis et d’Alger, mais aussi la fascination pour le désert, les oasis paradisiaques, les jeunes filles de la tribu des Ouled Naïl, « peintes comme des idoles », et la beauté troublante des adolescents qui révélèrent à Gide sa sensualité.
Désir du Sud. André Gide, Rudolf Lehnert et le Maghreb. 2004. Textes de Pierre Masson, Fatima Safi et Michel Mégnin. 16 p., 7 ill. couleur. Prix : 5 €.